Elena et Damon. Damon et Stefan. Stefan et Elena.
Pourquoi mettre côte à côte de simples personne, de simples prénoms ? À quoi bon essayer. On cherche tous la relation parfaite. Celle qui nous rendra heureux, jusqu'à la fin de notre vie. Celle qui nous fera sourire durant les jours de pluie. Celle qui nous remontera le moral lorsque tout va mal. Notre rayon de soleil, alors que le ciel est gris, alors que l'on a l'impression que tout s'écroule autour de nous, alors que le ciel nous tombe sur la tête. Mais à quoi bon essayer, alors qu'il y a 7 milliards d'autres personnes sur Terre. Comment garder espoirs, alors que l'on sait très bien que le pourcentage de chance de pouvoir rencontrer cette personne, ne serait-ce que la croiser quelques nano-seconde, est presque nul. Croiser cette personne, l'autre moitié de nous-même, notre âme-soeur, notre moitié, cette personne qui nous fait sentir vivant, qui nous rend unique, cette personne on ne la verra peut-être jamais. C'est presque impossible. Peut-être que cette personne on la croise tous les jours, dans le train, dans le bus, au lycée. Peut-être qu'elle est morte il y a des siècles.
Et puis il est possible, aussi, malheureusement, que notre âme-soeur ne vivent pas à la même époque, dans la même ville, le même pays, la même planète. Et là, ça revient à chercher une épingle dans une botte de foie, la fin de l'univers, la raison pour laquelle on vit, le Grâal. Et à moins que l'univers vous sourit, il n'y a que peu de chance pour que cela se passe pour le mieux dans votre quête.
Et puis il arrive, une fois par siècle, que l'univers vous fasse une faveur. Il vous offre l'âme soeur sur un plateau, dans une salle de classe.